"Fatema Mernissi / Harems"

Cie Le Festin

Fatema Mernissi / Harems

Vendredi 17 mai - 10h + 14h

 Théâtre / Tout public +15 / Durée : 1h
TARIF / ELEVE : 6€ (gratuité pour les accompagnateurs)
Bords de scène après les représentations.
Possibilité de financement via le Pass Culture Collectif (billetterie).

Le Festin – Cie Anne-Laure Liégeois (94)  

D’après l’oeuvre de
Fatema Mernissi 
Mise en scène, scénographie : Anne-Laure Liégeois
Lumière : Guillaume Tesson
Collaborateur à la direction d’actrices : Olivier Dutilloy
Interprétation : Amal Ayouch, Sanae Assif

Partenaires : Coproduction > Théâtre National Mohammed V, 19h Théâtre. Avec l’aide à la création de la Commission Internationale du Théâtre Francophone (CITF), la CIH Bank, avec le soutien du Ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication du Maroc, l’Institut Français du Maroc et de l’ambassade de France au Maroc, Bayer, l’Uzine, Shem’s, Fondation des Cultures du Monde, le CCME Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger et la Fondation Hassan II pour les Marocains Résidants à l’Etranger.

Crédits photo : Ange Esposito

« Je suis née dans un harem à Fès ». Ce sont les premiers mots du roman Rêves de Femmes de Fatema Mernissi (1940-2015), ou encore « L’espoir d’un monde où la différence n’aura besoin d’aucun voile, où les corps des femmes bougeront naturellement, et où leurs désirs ne généreront aucune peur ». Ce projet est né de la rencontre entre Amal Ayouch et Sanae Assif, deux comédiennes aux parcours différents, mais toutes deux mues par le désir de s’inscrire dans la réalité : femmes marocaines d’aujourd’hui.

« Harems » nous offre un texte militant, magnifique et nécessaire porté talentueusement et sans artifices par deux excellentes actrices. Dans une mise en scène épurée, les deux « passeuses » distillent avec humour  des vérités profondes et dynamitent bien des clichés !

« Anne-Laure Liégeois a eu l’excellent parti pris de la parole contée. Amal Ayouch et Sanae Assif nous embarquent dans leurs récits. Quelles merveilleuses comédiennes ! Elles s’approprient avec tellement d’aisance la parole de Fatema Mermissi, que l’on croirait presque que ce sont leurs propres histoires qu’elles nous racontent. Et c’est bien normal, car cette parole est celle de toutes les femmes ! C’est magnifique. » — Marie-Céline Nivière (L’œil d’Olivier)